Thursday, December 10, 2015

Le PS s'achète les voix

Tous les Français lucides le savaient, maintenant c'est clair...

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  Hammadi avoue que le PS a négocié des mosquées contre des voix
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> > > > > > > >   Le député socialiste Razzy Hammadi est revenu sur la lâcheté et les petits arrangements des élus locaux de la gauche plurielle, qui font construire sur leurs territoires des mosquées en échange du vote des communautés musulmanes.
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> > > > > > >   Invité à s’exprimer aux micros d’Olivier Galzi, sur I-Télé, le député de Seine-Saint-Denis et ancien président du Mouvement des jeunes socialistes a donc

> > > > > > > >   dénoncé les « lâchetés » des élus locaux face à la montée du communautarisme, avant d’avouer que « certains (élus locaux) ont négocié les mosquées contre des voix »
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> > > > > > > >   Il n’est un secret pour personne, puisque de nombreux sondages l’avaient déjà démontré, que François Hollande est arrivé au pouvoir grâce aux votes des Musulmans. Cette fois c’est un député socialiste en personne qui a décrit ces petits arrangements entre le PS français et la communauté musulmane : les élus locaux offrent des mosquées aux musulmans qui en échange votent pour eux. Le laxisme et la défense permanente des responsables de gauche face aux agressions et viols causés par les membres de cette communauté font certainement partie du package.
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> > > > > > > >  Comme les Français non Musulmans commencent à comprendre ce manège et ne veulent plus entendre parler du PS, nos bons socialos essayent d’ouvrir au maximum les frontières et font tout pour que les Musulmans soient rapidement majoritaires en France. Tout s’explique…
> > > > > > > >   La république islamique, c’est pour bientôt !  Grâce au PS
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Wednesday, December 9, 2015

Le terrorisme déguisé en petite délinquance

Madame, monsieur,
Chers amis de l’Institut pour la Justice,

La révélation que je vais vous faire est grave.

Cela dépasse l’entendement. Mais les langues se délient.

Sur France 5, l’ancienne juge antiterroriste Béatrice Brugère le dénonce : « Il y a certaines affaires de terrorisme qui sont traitées comme de banales affaires de délinquance ».

C’était le 25 novembre dernier sur France 5, dans l’émission C dans l’air :

« Ce qui est pratique avec l’État islamique, c’est qu’il suffit de les écouter pour savoir ce qu’ils demandent.

Or, il y a quelques mois, ils ont été très clairs : ils ont demandé à toute personne qui vive sur notre territoire, et qui soit adepte de leur idéologie de prendre tout ce qu’ils ont sous la main. Que ce soit une pierre, un couteau, une voiture… et de porter atteinte à l’intégrité physique des personnes. »

Elle continue :

« Je crois qu’on n’a pas su analyser : il y a une multitude de faits de délinquance qui sont sans doute liés à des actes de terrorisme. Je me souviens de cette voiture qui avait foncé sur la foule. Et à chaque fois, on n’a pas su analyser le problème. »

« Je pense qu’il y a beaucoup plus que ce qu’on voit. ».

Le mot est lâché. Il y aurait eu d’autres actes terroristes en France ou d’autres seraient à craindre mais ils ne seraient pas toujours qualifiés comme tels. Elle met surtout un nom sur la cause de cette cécité :

« On a du mal à appréhender cette nouvelle forme de terrorisme. On a deux stéréotypes dans la justice. Je ne suis pas là pour juger, mais c’est un fait :

(1) on croit toujours que c’est une pathologie mentale quand on a affaire à des gens comme ça. On a tendance à dire que ce sont des fous.
(2) On pense qu’on peut réinsérer tout le monde. »

Alors, quelle est la cause, cher lecteur ?

L’idéologie politique de certains juges ? Le laxisme qui vise à toujours trouver des excuses ?

Je vous laisse seul juge. Mais en cliquant ici, vous allez découvrir l’envers du décor de la justice — comment nous en sommes arrivés à ce point.

Et vous serez surpris de voir que cela ne concerne pas que le terrorisme mais bien l’ensemble de la délinquance et de la criminalité.

Avec mon constant dévouement.

Laurence Havel
Secrétaire nationale


PS : Vous considérez que la justice met votre vie en danger ? Alors, rendez-vous aussi ici.